Zaïna est excédée par mes larmes incessantes depuis le premier jour. Lorsqu'au passage elle m’aperçoit recroquevillée dans un coin du patio, elle me bouscule en grimaçant :
- Cesse donc de pleurer, pauvre idiote ! Bien des femmes envieraient ton sort ! Tu seras vendue à un homme riche, tu habiteras un palais et tu mangeras à ta faim. Va, va donc plutôt jouer !