Il éprouvait un merveilleux sentiment de liberté. Finis la colère, l’angoisse, la peur, le remords, le feu intérieur, il n’y avait plus que cette fraîcheur, la fraîcheur lunaire et la plénitude de cet air porté par une douce brise qui effleurait ses lèvres. Force, courage et détermination revigoraient ses membres : dressé de toute sa hauteur, il était redevenu le colonel de Napoléon.