Il y a toujours un coquillage, celui-là, magnifique, parfait, qu’on tente d’attraper et qui part dans une vague qui vient tout ramasser, on attend, on guette, on espère que la vague nous le rendra, mais non, on ne voit plus le coquillage idéal parmi les autres, ceux qu’on a mille fois, ceux dont on ne veut pas, les communs, les incomplets. Et on ne veut pas arrêter, on ne veut pas échouer.
On le veut notre coquillage.