Tu y penseras toujours. À tout ce qu’elle aurait pu faire et qu’elle ne fera jamais. Tu regretteras de ne pas la voir grandir, de ne jamais savoir ce qu’elle est devenue. Parfois, tu te demanderas ce qu’elle fait, et alors seulement, tu te souviendras qu’elle est morte. Tu verras des vêtements, des jouets… des choses que tu auras envie de lui offrir … et tu ne pourras pas. A chaque fois, ta mémoire te donnera un coup de poignard, et la blessure ne guérira pas, parce que, pour toi, ta fille sera toujours là, dans ton coeur, bien vivante.