L’oncle David, animé par de nobles pensées, croyait fermement à la manipulation poussée du génome, aux hormones de croissance, à la domination de la nature par l’homme-chercheur. Il voyait le biologiste comme le futur héros de l’humanité dont la mission ultime était de sauver la surpopulation d’une famine mondiale quasi automatique dans les soixante ans à venir.