Il [Pierre Bazin, grand-père de l'épouse de l'auteur] n'est démobilisé que le 7 août 1919 : il est de ces hommes de la « génération 14 » qui, les années de guerre s'ajoutant à celle du service militaire, passèrent sept ou huit années sous l'uniforme.
Ce qu'il résumera en ces termes : « J'ai perdu les plus belles années de ma vie, moi, hein ? »