Suspectés de participer à l’augmentation des "maladies modernes" comme l’infertilité, les cancers du sein et de la prostate, le diabète ou l’obésité, ils (les perturbateurs endocriniens) font partie des plus grands défis de santé publique aujourd’hui. Mais les enjeux économiques sont colossaux et les industriels toujours aux aguets. À Bruxelles, leurs puissants lobbies s’activent dans les coulisses des institutions européennes pour influencer cette décision qui menace leurs affaires.