Dans les années 1970, Gottlieb pouvait publier sans être inquiété une bande dessinée représentant les dieux monothéistes ivres et potaches (...) et Louis de Funès incarner un Rabbi Jacob accumulant les clichés sur les religions... Il n'est pas certain que ces propos bénéficieraient, au XXIe siècle, d'un régime juridique aussi favorable.