Non, George n'est pas un réconfort. Un réconfort, ça ne vous retient pas , ça ne contient pas l'élan destructeur qui loge en soi. Un réconfort, c'est gentil et doux. Ça n'a rien d'un barrage contre le remous morbide qui m'a envahie. Qui d'autre serait capable de voir ce que je cache ? Qui pourrait supporter la proximité d'une femme abritant cette chose vicieuse qu'elle ne reconnaît pas elle-même.