Françoise pense qu'il y a quelque chose d'unique dans mes dessins, et que je devrais croire en moi. Ça m'a gênée qu'elle dise ça. Je veux dire, je ne dessine pas pour les autres – encore moins pour devenir bonne -, je le fais parce que je trouve qu'il y a des choses qui se disent juste mal avec des mots.