Le lendemain matin, Carolyn sort acheter des framboises, des Cranberry et des groseilles pour son petit déjeuner. Elle est prise en chasse par les reporters, les halos lumineux de leurs appareils l’aveuglent, elle se met à courir, trébuche, fait tomber le sac de papier brun, les fruits s’écrasent par terre, les paparazzis les piétinent. Elle rentre chez elle, essoufflée et les mains vides. Tous les yeux sont braqués sur elle. Carolyn Bessette n’aurait jamais imaginé que le prix à payer pour être la femme de John Kennedy serait si élevé.