Le sang coule à travers le temps comme l'eau des fleuves, il va où il veut, quand il veut, sans se soucier des frontières, qu'elles soient géographiques, physiques ou sociales. Les affluents convergent, divergent, convergent encore, en un réseau peut-être moins aléatoire qu'il n'y paraît. C'est la vie, j'imagine. Et au bout du compte, la vie fait de nous tous des bâtards.