Chez l’esthéticienne, on faisait ça beaucoup plus rapidement, mais elle avait besoin de s’infliger ce supplice pour se calmer les nerfs. La douleur physique provoquait une sécrétion d’endorphines qui pouvait devenir addictive, avait-elle lu quelque part. Il y avait toutefois peu de risques qu’elle développe des tendances masochistes.