De retour en France (** après son exil aux États-unis), Zadkine se remit à dessiner beaucoup, surtout à l'encre, tant à Paris qu'aux Arques.Quand j'étais chagrinée ou démoralisée, il me disait souvent :
" Dessine.Il n'y a vraiment que le dessin pour remettre d'aplomb.On ne peut se laisser à l'ennui ou à la tristesse si on dessine "
Valentine Prax, " Avec Zadkine "
( p.43)