En définitive, la veuve de l’apothicaire, continua longtemps à lire et à relire Madame Bovary, á y puiser un peu d’amertume et beaucoup de douceur et à se demander comment Monsieur Flaubert avait pu travailler, recueillir quelques éléments de documentation et les compléter par le libre exercice de sa forte imagination d’artiste.