Le haut clergé se rangeait au côté du pouvoir le plus dur, le plus intransigeant, le plus militaire. L’ensemble de l’épiscopat espagnol, archevêques et évêques de toutes les villes, avait signé une lettre en juillet 1937 qui reconnaissait et approuvait la dictature de Franco. Ainsi, l’Eglise trouvait un défenseur contre les forces du Mal, contre les défenseurs d’une république légitimement élue par le peuple.