Il existe ainsi un véritable paradoxe du maïs : alors qu’il progresse dans le monde entier, alors qu’il est de plus en plus utilisé, non seulement dans l’alimentation mais aussi pour la nourriture du bétail, la chimie verte, la cosmétique, et bien d’autres usages encore – puisque, comme le dit Pierre, tout est bon dans le maïs –, beaucoup voudraient le voir disparaître de chez nous. Le maïs est devenu la plante à abattre. Il apparaît comme un outil du capitalisme.