l'hiver, ici, j'ai l'impression qu'on vit tous comme des vaches à l'étable, la corde autour du cou, les uns à côté des autres, la tête devant et le cul derrière, chez le boucher, dans la rue, tu rencontres toujours les mêmes visages avec leurs queues trop connues, je sais que tu as couché avec Philippe et où, je te devais bien ça.