Comme ce jour où je tâchai de lui faire croire, en m'exaltant moi-même, à l'éminente dignité de mon métier d'écrivain public. C'était un choix délibéré que de venir en aide aux pauvres gens , aux laissés-pour-compte.Ca n'a pas pris. Tout au contraire, le retour a été cinglant:
" Ecoute ce que tu dis. Ce n'est pas eux, c'est toi qui y trouves ton compte. C'est sur leur dos que tu règles tes propres comptes. Si tu ne leur venais pas en aide, c'est toi-même que tu serais obligé de prendre en main. C'est toujours plus facile de faire payer les autres, surtout quand on est convaincu qu'on leur rend service" (p.18)