On s’immisce dans les rapports naturels du système immunitaire avec des virus alors qu’il est parfaitement capable de s’en débarrasser tout seul la plupart du temps, et qu’on remplace une souche par d’autres souches à haut risque cancérigène, ce qui favorise les lésions précancéreuses et les cancers du col de l’utérus. C’est ainsi qu’on risque d’obtenir l’effet inverse de ce qu’on souhaite.