Tadashi Kawashima

Une fois le premier cycle passé, on a presque l'impression de n'avoir lu qu'une introduction tellement les bases instaurées peuvent mener dans un nombre incalculable de directions. Alive est un shonen à la frontière du seinen, dont on n'entend pas suffisamment parler. C'est un titre qui mériterait d'être beaucoup plus populaire qu'il ne l'est.
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Taisuke Kano a perdu ses parents quand il était petit. Depuis il vit avec sa sœur ainée qui travaille en tant qu'infirmière dans le lycée qu’il fréquente. Il protège son copain Hirose qui est toujours la victime de rackets. Megumi, sa meilleure amie se dispute souvent avec lui. Le temps de présenter les personnages, le drame commence déjà. Une vague de suicides frappe la planète entière. Le plus curieux est les suicidés ont le sourire aux lèvres.

Un nouveau manga avec le thème de la mort mise en avant. La trame du manga est intéressante, même si de part le thème, c'est assez macabre. Mais les auteurs arrivent à contrebalancer ce morbide par un humour... assez décalé. Je ne suis pas spécialement emballée par les dessins, j'ai trouvé qu'on passait trop vite d'un dessin sérieux à un comique.

A la fin de ce premier tome, j'ai eu envie d’en savoir plus, pourquoi ces suicides ? Qui sont ces gens avec un pouvoir ? Le scénariste a trouvé un bon cliffhanger pour les lecteurs qui commencent cette série.

Oui, je veux connaitre la suite...

A noter, quelques yonkomas à la fin du tome (dessin-manga en 4 cases à tendance humoristique) que j'ai trouvé gentillettes...

On continue avec Taisuke et le jeune Yuta, ils font des rencontres de camarades. En particulier celle d'un adolescent et de sa petite soeur qui fuient leur père...

Taisuke découvre un peu plus son pouvoir et essayer de le maitriser. Mais on ne progresse pas beaucoup dans ce tome, les deux garçons font surtout des rencontres. On suit aussi une jeune journaliste et son acolyte mais ils ne participent pas encore à l'opposition des deux "camps". D'autres questions attendent aussi des réponses... Ca vaut le coup de continuer.

J’ai bien aimé ce second tome, Taisuke découvre son pouvoir et fait la connaissance de Yuta, un jeune garcon, camarade lui aussi avec un pouvoir. Je l'ai trouvé beaucoup plus marrant, peut-être que je me suis habituée à l’humour des auteurs. Ou alors, est-ce parce que le tome est moins macabre ? Je ne sais pas mais ça détend l'atmosphère tendue et sombre du manga.

Comme à la fin du premier tome, des petits yonkomas. J’ai trouvé ceux-là bien marrants !

Ce manga est vraiment une tuerie...sans mauvais jeu de mots ^^



Vraiment, je le trouve particulierement intéressant, que se soit au niveau de l'histoire, des personnages ou encore du graphisme.



L'histoire débute sur le suicide de plusieurs milliers de personnes et on se rend compte que certains sont immunisés contre ce mal qui poussent les gens à se donner la mort...L'histoire devient par la suite beaucoup plus complexe bien évidemment!



C'est un vrai coup de coeur que j'ai eu lorsque j'ai découvert ce manga il y a plusieurs années déjà. J'en parlais à tout le monde autour de moi d'ailleurs!



Et ça change réellement des mangas populaires qui polluent, selon moi, les rayonnages des libraires...

Ce livre parle d'un virus qui fait que toute la population se suicide sauf quelques-un comme Hiro et Kanto. Ils ont un pouvoir surnaturel , tout comme Taisuke ,un jeune lycéen qui veut comprendre l' origine de ce fléau.

Ce livre est étrange et fascinant . J'attends de voir les autres épisodes.

Taisuké est un lycéen de 16 ans qui vit seul avec sa sœur depuis la mort de ses parents. Il est très gentil et vient souvent en aide à son copain Hirose, qui est la tête de turc des garçons de sa classe. Sa sœur est médecin scolaire dans le lycée où ils suivent leurs cours. Il est très proche d’elle. Il a aussi une relation privilégiée et très forte avec une jeune fille Megumi, même s’ils se disputent souvent.



Tout bascule le jour où le Japon est frappé par une vague de suicides collectifs, lors d’une semaine surnommée plus tard «semaine de l’horreur». Les quatre élèves qui passaient leur temps à martyriser Hirose sont retrouvés morts sur le toit de l’école. Hirose est suspecté et interrogé par un inspecteur de police Katsumata, un homme au regard étrange. Dans la mesure où l’épidémie se propage mondialement, on peut se demander si cette vague de suicides n’est pas le signe avant coureur d’un cataclysme planétaire?



Taisuké va essayer de comprendre l’origine de ce fléau. L’humanité semble coupée en deux types d’individus: ceux qui meurent et ceux qui se retrouvent épargnés mais fascinés par la mort, et munis d’étranges pouvoirs. Kaisuké découvre ainsi qu’il a le pouvoir du feu. Un de ses «camarades» a la faculté d’isoler les gens par une barrière invisible, un autre peut véhiculer du vent. Au fil du manga, de nouveaux personnages apparaissent, notamment le petit Yuta, garçon traumatisé par le suicide de sa mère, ou Yura Takumi, qui semble fou et manipule des bulles d’air qui déclenche des explosions. On découvre une sorte de société parallèle, constituée d’élus surnommés les «camarades», à la tête desquels on retrouve l’inspecteur de police qui ordonne de détruire Taisuké. Curieusement, ce dernier, loin de se sentir oppressé par cette atmosphère, envie le sort des personnes décédées comme si la mort était synonyme de bonheur.



Voici un manga palpitant au graphisme magnifique, à l’intrigue originale, et au scénario hyper bien ficelé. Je n’ai lu que les trois premiers tomes (sur les 14 disponibles actuellement en français) mais je me suis régalée. Nous voilà face à un formidable thriller, aux multiples personnages dont les pouvoirs surnaturels sont tous plus inédits les uns que les autres. Les auteurs font preuve d’une grande imagination et j’ai vraiment adhéré à ce manga d’anticipation brillant, dont le dessinateur est décédé à 42 ans d’un cancer, en ayant jusqu’à ses derniers jours pris la peine de donner la touche finale à cette œuvre dont il pouvait être fier. C’est une totale réussite, et un manga qui se démarque de la production actuelle, pour moi de la même veine que les brillants "Death Note" ou "20the century boys".



A réserver cependant aux plus de 15 ans.