"La famille s’était dispersée. Il se consolait en se disant : c’est ça la vie, on fait des enfants, on les gâte puis un jour ils s’en vont, à peine s’il se souviennent de nous, mais que faire, si nous étions au village, ils seraient tous là, sous mes yeux, là, nous sommes dans un pays impitoyable, il faut lutter tout le temps pour vivre, pour respirer, pour dormir en paix. "