Je connais la douceur du pouvoir et l’amertume de son déclin programmé, mais le décor qui suggère des tourelles et des pierres médiévales ne m’enferme plus – seule l’intemporalité de l’obscurité m’enveloppe – et ce n’est pas une femme en particulier qui se tient là, ni un homme en particulier… Il n’y a qu’un être androgyne culpabilisé, mais qui ne se repent pas encore et qui ne souhaite pas que soient anéantis l’acte ni les conséquences de l’acte. « Vas-y chienne ! j’ordonne à part moi. Montre-moi ce que tu sais faire ! ».