Peu importe si nous mourrons », me dit un soldat ouzbek nommé Khalev, tout en prenant la pose avec sa Kalachnikov rutilante. « Ce qui compte c’est de bombarder les étrangers talibans pour qu’ils sortent et qu’on puisse les tuer ». Et les dommages collatéraux ? « Il ne faut pas en parler. Cela pourrait faire douter les Américains