La cité U était enfin à portée de vue. Peut-être le seul lieu où il pourrait se réfugier. Ils pouvaient venir de n’importe où, cachés derrière les voitures du parking, pour le choper à la jambe et le mordre avant qu’il atteigne le bâtiment et sa sécurité. Il n’en paniqua que plus.
Une masse sombre se profila derrière les portes en plexiglas de l’entrée. Il eut du mal à l’identifier, avant de comprendre qu’il s’agissait d’armoires. Des silhouettes en déplaçaient une contre la dernière des portes accessibles.
― Putain, putain, non ! Attendez ! Attendez-moi !