Si l’artiste avait toujours critiqué la logique des productions artistiques conçues de manière industrielle et refusait de travailler dans un studio entourée de dizaines d’assistants, l’ambition de ce projet l’avait obligée à mobiliser un ensemble de collaborateurs dans le Kansai en plus des associés avec lesquels elle avait coutume de travailler à Rio de Janeiro, où elle résidait.