Thierry : Quand tu es photographe, de temps en temps quelque chose se passe devant toi, et tu te dis : « Mais jamais je ne reverrai ça, jamais ! » Je me souviens, à la fin [des prises de vues de Michel et France], je vous avais dit : « Merci, merci, merci. »
France : Ton bonheur faisait plaisir à voir. Mais qu’est-ce que j’ai pu être heureuse qu’elles existent, ces photos ! Je me suis accrochée à ces photos quand Michel est parti…
Thierry : Je l’ai vécu comme ça aussi.
France : Aujourd’hui, c’est le plaisir qui reste. Elles sont la vie, ces photos, tout simplement.