Cerise sur le gâteau, si le projet bat de l'aile ou connaît un trou d'air imprévu, les pouvoirs locaux, voire l'Etat central, volent au secours du promoteur en prenant en location les superficies de bureaux restées désespérément vacantes, comme c'est le cas au quartier Nord au début des années 1970. A tel point qu'aujourd'hui, près de la moitié des tours bruxelloises sont occupées par des administrations publiques ou assimilées.