Alors, comment les genres peuvent-ils s'avérer si labiles au point que la densité des autres ou même une interaction parasitaire réussissent à déclencher cette conversion? Que raconte-t-il donc de ce sexe qui à la fois sépare mâles et femelles dans une opposition de leur intérêt reproducteur, mais qui peut tout à tour changer ou même se combiner en un unique ovotestis dans un individu hermaphrodite? Le sexe et son genre laissent à supposer qu'ils ne sont pas des catégories strictes. Se plaçant sur un continuum organique, le sexe n'a finalement rien d'une essence fixe.