il y avait des hommes pour courir, pour admirer la nature et attendre que tournent les lunes. Il y avait des enfants pour jouer et des mères et des pères pour savoir et transmettre le savoir.
Hélas,plus tard arrivèrent les homme blancs, ceux qui se cachaient jusque-là derrière les portes des enfants. Ils vinrent griffer de leur galions le cours tranquille des eaux puis arracher aux phoques, aux loups et aux castors leur fourrure et les arbres aux forêts.