C'est la politisation, la littéralisation, l'intellectualisation, la radicalisation de l'Allemagne ; c'est son « humanisation » au sens politique occidental du terme ; c'est sa « déshumanisation » au sens du terme ; et pour employer le mot favori, le cri de guerre et de joie de celui qui se fait dans devoirs et ce sans vocation personnelle à encourager ce processus, je veux parler du littérateur radical, c'est la démocratisation de l'Allemagne –mot très sommaire, qui en somme veut affirmer un rapprochement de la mentalité allemande avec celle de l'Europe occidentale et de l'Occident en général.