L’union de Jean et Marguerite Moulin soufre de l’ombre envahissante de Mme Cerruty. Non contente de répendre des bruits sur la fidélité de sa fille celle-ci conspue son gendre et les Moulin, qu’elle voit comme « des athées, des politicards de gauche » coupables de lui avoir « volé son enfant » et de convoiter sa fortune.