—Tu es si beau, me surpris-je à lui dire.
Les narines dilatées, il déposa trois petits baisers sur ma joue.
—Non, je ne suis pas beau. Je suis défiguré. Je suis un monstre hideux.
Je tournai la tête et l’embrassai en dessous de l’oreille, puis souris en voyant que je lui donnais la chair de poule.
—C’est à moi de décider qui je trouve beau ou pas. Et pour moi, Valentin, tu es beau. Mon beau monstre, lui murmurai-je à l’oreille.