Je m'étais rendu sur quelques scènes de mort par écrasement depuis le début de ma courte carrière, et je n'avais pas honte de dire que j'avais horreur de ça. [...] Quand le devoir m'y avait forcé, j'avais prié pour que les victimes aient été pulvérisées. Il était plus facile de ramasser de la bouillie que des membres encore entiers. (p.35)