On ne trouvait en Chine personne qui, comme le géographe de Vermeer, ait eu l'envie, ou la possibilité, d'intégrer un flot infini de données en provenance du monde extérieur et de réviser régulièrement le corpus de connaissances utiles dont quelqu'un d'autre avait réellement besoin. Le monde extérieur pénétrait dans la vie des Européens sous forme d'idées et d'objets, dont nous avons vu certains dans la pièce que Vermeer a peinte.