« Mon cher César,
Sans passé ni avenir, quelle histoire à bâtir ? Les cartes ont déjà été distribuées. Par d’autres la partie a été remportée. Dévorée par la proximité déconcertante d’un autre dont on ignore tout.
Mon intime étranger, je désire donc je fuis. Idéalistes de croire que nous pourrions vivre de présent et d’eau fraîche. Sur le bûcher de l’utopie, laissons disparaître un rêve que nous avons caressé mais qui n’appartient qu’aux autres : nous. »