AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Tom Fowler (6)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Hulk : Season one

Encore un tome de la collection Season One qui offre ici la modernisation de la naissance et de la première aventure de Hulk. Le Dr Jekyll et M. Hyde des éditions Marvel est accompagné dans ce tome one de Rick Jones, Betty Ross et du général Thaddeus Ross. Un one shot plutôt destiné aux novices qu’aux fans du personnage parce que, il faut être honnête, les origines de Hulk, on les a vus et revus mille fois.



Ce tome fait son office, certes, mais je vais avoir tendance à lui préférer une intégrale de la date de création du personnage ou une anthologie, afin d’avoir les vrais premiers récits.
Commenter  J’apprécie          180
Hulk : Season one

On s'intéresse ici au Dr Bruce Banner qui crée une bombe à rayon gamma, une sorte de bombe nucléaire sans les effets désastreux de l'atome sur le corps humain.

Mais lors du test et en bon samaritain, il veut sauver un voyou des radiations et se fait lui-même exposer aux rayons gamma qui le transforment en Hulk.



Ce Hulk, doué de parole, nous est d'abord présenté un peu comme un loup-garou, apparaissant que la nuit. Peu à peu Hulk traduit la colère enfouie en Banner, traumatisé par son enfance et surtout son père. Le monstre cherche alors à prendre l'ascendant sur Banner, cherchant à faire taire le scientifique et rester sous la forme permanente de Hulk.



Ce one shot ressemble à un condensé des idées déjà exploitées dans les autres sagas Hulk. Si le scénario est plutôt plaisant, la présence des ennemis est une fois de plus, à l'instar des précédents tomes, quasiment anecdotique. En tout cas, ce qui est le plus intéressant dans ce comics est bel et bien la dualité Banner / Hulk, même si tous les ingrédients de la saga sont ici repris.



Côté graphisme, le dessin est assez original, complètement différent des premiers comics. La couleur et l'encrage sont également revus. Visuellement, il faut dépasser le choc et ce n'est pas forcément évident dans un premier temps. Tout n'est pas clairement défini dans l'image. Sans dire que c'est brouillon ou mal fait, loin de là, le graphisme est quand même très particulier.



Cela n’enlève rien à la dynamisation de l’action, à la puissance développée par ce Hulk. S’il ne fait pas dans la dentelle, donnant même dans l’ultra violence s’il le faut, le titan est humanisé d’une part par la parole et la réflexion, d’autre part par la défense de la veuve et de l’orphelin qui le caractérise. Mais l’aspect le plus fort reste ce symbole du trauma de Banner. Hulk ne représente pas une puissance destructrice invincible mais bien un mal-être psychologique plus profond.



Ces aspects psychologiques étant des mieux traités, on est tout de même en droit de se demander à quoi peuvent servir ces ennemis qui ne sont que superficiellement traités, surtout qu’ils sont souvent au nombre de deux. L’action pure, que l’on attend bien sûr, est peut-être leur seule raison d’être.
Commenter  J’apprécie          40
Gerard Way présente Doom Patrol, tome 1

Difficile à comprendre pour un néophyte. Si vous avez des bases sur la doom patrol de la belle époque, vous vous en sortirez mieux. Cela reste très cryptique à certains moments, pour d'autres équipes de supers héros cela m'aurait fait lâché mais j'aime trop celle ci pour ne pas vouloir approfondir l'histoire d'une rue qui devient un camion dans lequel un univers complètement à part se développe, mais menacé par une espèce androîde qui transforme la matière en nourriture. Au moins ce n'est pas banal.
Commenter  J’apprécie          20
Gerard Way présente Doom Patrol, tome 1

Mélange réussi d'ancien et de neuf.

Le principal point noir: si vous ne connaissez pas la Doom Patrol et spécifiquement la période Morrison, vous allez vous sentir mis à l'écart et pas de façon polie.

Way présuppose que vous avez lu ce qu'il a lu et donc ne se donne jamais la peine d'expliquer ou de contextualiser les personnages et thèmes qu'il n'a pas spécifiquement créés. Et c'est donc très mal écrit pour un néophyte et c'est, pour moi, une des pires tares que peut avoir un comic-book.

Robot Man et Larry Trainor vous seront complètement inconnus avant et après la lecture et vous ne comprendrez pas pourquoi il y a des interludes avec un "Chief". Et c'est nul comme façon de faire.

Les deux premiers numéros sont à la limite de l'incompréhensible. On arrive à capter qui est cette ambulancière et son co-équipier mais tout le reste n'a aucun sens. Heureusement, les 4 suivants viennent mettre un fil narratif qui relie les parties jusqu'à lors absconses.

Et lorsqu'il se donne la peine d'expliquer ce qu'il raconte, ça peut donner d'excellentes choses comme les origines de l'ambulancière racontée façon "Histoire du comic-book à travers les âges". L'histoire générale est bonne bien qu'un peu trop triste pour moi, j'aime trop ce personnage pour qu'il lui arrive ce genre de trucs.

Alors que le dessin n'était vraiment pas le point fort de la période Morrison, ici on a le droit à Nick Derington qui justifie à lui seul la douleur des premiers numéros. Un dessin propre et clair qui contraste avec une imagerie parfois violente. Sans lui, la série aurait été nettement moins agréable à lire.

Une fois les nouveaux personnages présentés, il est temps de ressortir l'ennemi emblématique de la période Morrison pour le mélanger à ceux nouvellement créés et qui seront le centre de Milk Wars, le cross-over des titres Young Animal avec le DCU dans un bien beau bordel.

Mais nous n'en sommes pas là.

Le #7 fleure bon la première époque de Doom Patrol, celle de Arnold Drake: le Chef, ses ennemis barrés et la Doom Patrol composée de 3 éléments. Bien entendu, vient s'ajouter à cela les délires à la Morrison. Mais le mélange prend très bien, c'est très fun à lire. Le dessin est de Mike Allred, tant qu'à prendre un remplaçant, autant piocher dans le haut de gamme.

Les #8-11 composent le cœur du second arc avec, donc, le retour attendu et deux nouveaux ennemis, les fils épars qui se resserrent et une conclusion absolument satisfaisante pour cette fin de run. On est nettement moins paumés que dans la première partie, les personnages sont campés et les idées foutraques maîtrisées. Derington est toujours autant un plaisir à regarder.

Le dernier numéro est dessiné par Tom Fowler et est une aventure "Pendant ce temps". Comme on y développe des personnages, même si ce n'est pas franchement original, c'est une bonne lecture. Peut-être l'aurais-je éditée en #11 mais peut-être que ça m'aurait énervé de voir interrompre l'intrigue principale.

Cette reprise par Way et Derington de la Doom Patrol aura été un peu compliquée sur le début mais ils ont su terminer comme il le fallait pour avoir envie d'en vouloir plus.
Commenter  J’apprécie          10
Rick and Morty, tome 3

Un peu plus mitigé par ce tome 3.

Même si l'humour de l'animé reste présent j'ai trouvé l'histoire un peu trop longue et beaucoup moins tiré sur l'humour. En tout cas c'est mon ressenti sur la première histoire avec le grille pain où je trouve que certains dialogue sont long et inutile.



Pour l'histoire Ready player Morty, là c'est plus intéressant et drôle, à voir ce que donne le prochain tome.

Commenter  J’apprécie          00
Hulk : Season one

j'ai presque tout aimé sauf que je n'ai pas trop aimés les méchants.
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Tom Fowler (51)Voir plus


{* *}