Toute cette affaire équivalait à construire un château de cartes dans une pièce balayée de vents coulis. On passait la moitié du temps à monter éperdument l'édifice, l'autre moitié à tenter de le sauver du courant d'air. Et chaque fois que l'on croyait avoir enfin terminé, une brise se levait d'une direction totalement différente, qui jetait à bas toutes les cartes.