Les tasses de thé ponctuaient le temps, séparant l'avant de l'après ; le sommeil du réveil, le trajet vers l'agence de l'installation à sa machine, le déjeuner de la reprise, l'achévement d'un contrat compliqué de la mise en train du suivant, la fin du boulot du début de la soirée. Il lui arrivait de fumer pour marquer ces transitions, mais au lieu de la calmer comme le thé, les cigarettes lui donnaient le tournis. Et elles coûtaient plus cher.