Ce sont les héritiers des mecs en sarouels qu’on voyait gratter leur guitare au parc municipal (ou, dans le pire des cas, taper sur leur djembé), ce sont les héritiers des mecs qui animaient des ateliers de capoeira et de slam thérapeutique. Beaucoup espéraient qu’ils disparaîtraient avec l’apocalypse mais, miraculeusement, ils sont toujours là.