Les artistes de Paris appréciaient eux aussi ces lithographies, comme Pablo Picasso, qui possédait l'affiche de May Milton, ou le peintre cubiste Georges Braque. Braque guettait les afficheurs dans la rue, et dès que l'un d'eux collait une affiche de T.L sur un mur, il la décollait pour l'emporter chez lui.