Ne sachant pas si elle devait rire ou pleurer, elle gardait constamment ce visage inexpressif.
Ne pouvant rester indifférente face à son handicap, je décidai de lui transmettre les émotions d'autrui par le biais de la main. Ainsi, quand une personne s'énervait, je lui serrais fortement la main. De même, quand quelqu'un se réjouissait, je lui chatouillais le creux de la main. (p.56)