Tandis que les sopranes en robes soyeuses mouraient en pleine lumière dans les bras des barytons lançant leur chant de cygne vers les plafonds moulurés, dans les tréfonds sombres, une seule mélodie, aux cent bras, habillait leurs voix d'un manteau d'arpèges étincelants. (p.106)