Nous sommes tous le produit de notre passé.
Un homme pouvait être amoureux de plein de femmes à la fois. Qu’il soit marié ou non n’avait apparemment aucune importance.
Un peu de fantaisie n’a jamais fait de mal à personne.
Si nous ne partagions pas les mêmes sentiments, il serait effectivement fou de se marier et de fonder un foyer.
Certains adultes ont du mal à se mettre au niveau d’un enfant. Ils ont comme un blocage qui les empêche de se replonger dans l’enfance.
La perfection, on peut seulement espérer s’en rapprocher en réalisant ses erreurs, en s’efforçant de les rectifier.
Nous façonnons nos enfants dans une certaine mesure, mais ils possèdent leur personnalité propre… Parfois nous sommes complètement impuissants. Nous les regardons grandir et devenir une personne avec laquelle nous ne nous entendons pas… et nous ne pouvons rien y faire. Nous les aimons quand même, mais il manque le lien… la communication, comme on dirait aujourd’hui.
On ne se rend souvent compte du bonheur que l’on a qu’une fois confronté au risque de le perdre.
Les enfants ont parfois du mal à exprimer leurs sentiments. Ils ressentent les choses avec tant d’intensité, leurs émotions font tellement partie d’eux-mêmes… C’est difficile à expliquer.
Les enfants ne voient pas les choses comme les adultes.
C’est comme ça, quand on est vieux. On n’a plus besoin d’apprendre parce qu’on sait déjà tout.
Parfois on fréquente quelqu’un pour s’apercevoir au bout de quelques soirées qu’on n’est pas du tout fait l’un pour l’autre. Alors plutôt que de passer pour une imbécile, mieux vaut faire croire que ce n’est pas important avant d’être sûre de ses sentiments.
La concurrence est rude, vous savez. Il faut se démener pour se maintenir.
Ne vous méprenez pas, je ne suis pas sexiste, mais force est de reconnaître que les hommes et les femmes ont des morphologies différentes.
Une vieille copine ne jurait que par la Guinness quand elle avait des règles douloureuses.
Dans des sociétés plus importantes, comme les institutions financières où elle s’était usée à la tâche avant d’entrer chez Anthony & Gray, le règlement intérieur mettait en garde contre les relations entre collaborateurs. Un garde-fou contre le harcèlement sexuel, affirmait-on. Un mal sans doute nécessaire en cet âge d’or du politiquement correct.
À en croire les clichés, elle aurait dû noyer ses soucis prémenstruels dans un verre bien tassé d’une quelconque boisson alcoolisée en regardant une vidéo à l’eau de rose ou en se bourrant de glace au chocolat, ou les deux… Mais non, elle lisait un livre. Un passe-temps très louable, certes, mais peut-être pas très enthousiasmant un samedi soir quand on a vingt-six ans. Elle n’arrivait pas à se concentrer. Elle avait lu le dernier paragraphe au moins quatre fois déjà.