Valérie Boisgel

19 nouvelles... J'ai lu la première et ai refermé la seconde avant la fin, convaincue que ma lecture n'était pas érotique mais bel et bien pornographique! Le titre est trompeur, où sont les femmes amoureuses? J'abandonne sans le moindre regret, je ne veux pas perdre mon temps. Je crois que la rubrique "érotisme" ne me porte pas chance.

Désireux de changer de registre apès mes récentes lectures bibliques et espérant retrouver la jubilation et l'humour des 13 envies d'Anna Galore, j'ai malheureusement vite été lassé et ai abandonné après la moitié de ces nouvelles érotiques.

Lamentable est le seul mot qui me vient... Disons que d'un point de vue littéraire, il n'y a aucun intérêt : c'est une succession de scènes, genre un court métrage de cul, qui se lit en 30mn à tout casser, alors érotique peut être (pour un garçon) mais disons que bon, il n'y a aucune dimension psychologique des personnages, d'ailleurs il n'y a rien à part la description de scènes de cul. bref, pas vraiment ce qui me fait "bander"!!!! :-)

récit intime ,troublant,cru et ou l'on à l'impression que l'auteur veut faire passer son ressenti par rapport au désir,le rapport charnel à soi même et à l'autre. intime et parfois spirituel et des fois choquant la conscience, faissant autant nâitre des peurs que des envies de braver les interdits

Deux nouvelles sur l'ensemble décrivent un univers érotique sensuel.

Pour les autres,approches vues et revues

Ce petit roman se lit vite, très vite.



Serait-il représentatif des désirs féminins ?

En tout cas, les scènes décrites ne font pas partie de mes fantasmes : relations à 3, sodomie, urine, etc....

Les personnages sont limités à leur désir sexuel, ils ne se rencontrent que pour baiser car il ne s'agit, à mon sens, pas d'amour, uniquement d'assouvir des désirs.



Bref, je ne le recommande pas plus que cela.

jolis récits dans l'ensemble. dommage que quelques récits vulgaires figurent dans ce livre.

Dans un style qui rappelle Christine Angot, la rage en moins, un long soliloque sans intérêt, d'une banalité confondante, à peine relu, par un auteur au manque de style et de vocabulaire désolant.



Moins de cent pages de clichés, de lieux communs, d'absurdités langagières, de phrases nominales balancées semble-t-il au hasard d'un manque d'inspiration évident. À noter que le titre est mensonger, la narratrice n'est en rien captive. le BDSM est à peine évoqué, vers la fin, lorsque l'auteur cherche à tirer à la ligne pour réussir à dépasser les soixante pages.



À éviter.

Un peu déçu, celui-ci ne fait que 94 pages... CELA MONTRE SANS AUCUN DOUTE LA PAUVRETE EROTIQUE DE L'IMAGINATION FEMININE!!! ah, ça fait du bien de le dire de temps en temps ;)

Voilà en tout cas un roman qui décrit d'une manière "cru" toute la puissance du désir féminin à jouir pleinement, entièrement, d'une manière quasi mystique... Un grand merci à l'auteur de nous faire partager autant d'intimité.

De l’aube à la nuit » est un texte d’une infinie beauté, un roman écrit telle une poésie sur un amour total.(…) Débordant de chaleur et de passion, sensuel et charnel, ce premier livre s’affirme comme une définition de l’amour : magnifique.

D.S.

De l’aube à la nuit » (…) La douceur dramatique et passionnée d’une histoire sentimentale qui nous échappe, nous touche de plein fouet, nous excite… D’une histoire d’amour humaine, trop humaine, qui nous dévore de l’intérieur pour nous prendre aux tripes, au cœur.

Féminin Psycho.

(…) Son écriture est surprenante et inédite en matière de littérature érotique. (…)

Son système de narration est lui aussi troublant.

Pierre Cavalier.

« (…) Son style évoque les nouvelles érotiques de Marguerite Duras.(…). Pierre Bourgeade parle de cet état de malaise sans lequel il n’est pas de texte qui compte.

Pierre des Esseintes

« Captive » : Son style haletant, est marqué par un sentiment d’urgence. Il vous emporte comme dans une tourmente.

Bien dans ma vie.

« Une fureur de survivre. Aux antipodes de la pornographie, « Captive » est une suprême élégance de la littérature érotique.

Olivier Barrot.

« Valérie Boisgel sait de quoi elle parle : elle nous vient du cinéma... C’est bien au-delà des mots, des regards nus, si nus, qu’elle nous donne à lire. C’est son âme qu’elle dévoile, qu’elle touche au Sacré. A lire, absolument.

Jean-Marc Stricker. France Inter le journal du matin.

« Tous les mots de la relation érotique sont là, mais il n’y a pas que ça, ce qui est important c’est l’amour qui s’en dégage. Une très belle écriture qui vous envoûte. Je vous conseille de le lire.

José Arthur. France Inter.

« Une très belle écriture sur une histoire passionnelle. A lire absolument… »

Patrick Poivre d’Arvor.