Bientôt les déferlantes, l’assaut, la plateforme inondée, les couloirs jonchés d’algues, les murs asphyxiés. À l’intérieur : le silence en couche épaisse, la poussière partout. Déposée là comme une cendre, tenace et vaporeuse, sur le crépi étanche. Trois pièces. Déchets, graffitis, cadavre d’un rat.
Un instantané de ce moment. Ces quelques débris de temps qui ont précédé la fin.