Il l'avait traitée comme son alter ego, ce qui d'ailleurs la faisait enrager. Elle lui disait : " Que cela ne t'empêche pas de m'ouvrir les portes, de me précéder dans les escaliers ou de m'offrir des fleurs. Je n'ai jamais voulu l'égalité entre les hommes et les femmes, Georges, j'ai toujours su que nous étions supérieures."