Le sexe ne semblait plus être une priorité, l’amour non plus. Manque d’envie, d’énergie. Découragés par des horaires de travail harassants, la difficulté des relations sociales, on crée une échappatoire qui correspond à ses attentes et à ses besoins : rêver sur des idols, lire ou imaginer des dojin, ces fictions sexy, regarder du porno en réalité augmentée dans un café, collectionner les jouets érotiques, un marché démentiel, ici… On n’a plus besoin de l’autre pour assouvir ses envies.