Vera Lee

Tout le monde pense se qu'il veut mais moi je trouve ce livre merveilleux.

C'est le premier gros livre que j'ai lu, je devais avoir huit ans et j'ai mis au moins deux mois pour le lire. Je n'avais pas encore cette facilité avec laquelle j'arrive à lire vite et bien. Je me suis surpris à découvrir à quel point ce livre m'a touché. J'ai pleuré à plusieurs reprises et quand je l'ai terminé j'eu de suite envie de le relire, c'est à ce moment là ,grâce à ce livre, que j'ai commencé à lire et que je me suis prise de passion pour les livres et que j'ai voulu être écrivain. Ce livre est en effet une histoire fausse mais pourtant je trouve que l'histoire est très bien écrite, je me suis pris dedans et je m'imaginais au côté de Misha. Bref pour moi c'est un livre que je recommande qui raconte le temps où les allemands tués les juifs.

Que dire de ce récit de vie poignant, qui dénonce l'humanité des bêtes sauvages et la barbarie des hommes? Tout simplement que c'est époustouflant. Imaginez une petite fille qui décide de partir de la belgique pour s'en aller à l'Est, sans provisions, sans vêtements chaud. C'est tout simplement incroyable.

Habituellement, ces romans ne sont pas mon genre, mais celui-ci ( mis à part qu'il y a des loups ^ ^ ) est captivant du début à la fin. La petite fille de huit ans qui nous parle est sincère, mais surtout, courageuse. Je regrette juste de ne pas avoir trouvé l'édition où sur la couverture il y avait des loups. Mais ce n'est pas si dramatique je suppose ( oh que si!) car l'histoire vaut cet oubli.
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J'étais tellement plongé dans ce roman censé être entièrement vrai. Une petite fille juive s'enfuit dans la forêt et fait le tour de l'Europe en espérant retrouver ses parents emmenés par les Allemands. Lors de son long périple, elle rencontre des loups et va finir par apprendre leur coutumes et leurs hiérarchies. Elle deviendra à force plus louve qu'humaine. Un livre passionnant, par la capacité à une petite fille 8 ans à s'adapter à la vie sauvage seule pendant plusieurs années.

Hélas, il me restait une cinquantaine de pages, et je me suis renseignée sur Misha Defonseca. Ce livre est une grande supercherie commerciale. Misha n'est pas juive, le début de l'histoire est à peu près vrai mais le reste n'est que de la fiction. L'écrivain a menti à ses lecteurs et aux médias. Elle est passée au tribunal.

Pour vous dire que lire les cinquantes dernières pages, ça a été très compliqué. La magie s'est envolée, la véracité du récit étant une invention. L'attrait et l'intérêt n'est plus du tout le même.

En Belgique, la narratrice est encore une toute petite fille lorsque la guerre commence et que ses parents chéris, juifs d'origine russe, sont déportés "vers l'est". Commence alors un véritable périple à travers l'Europe.



Lorsque j'ai lu ce livre, il y a quelques années déjà, je l'avais trouvé tellement incroyable et je me repetais "comment une telle histoire est-elle possible ?". En effet, j'avais une vieille édition qui ne précisait pas encore que Misha Defonseca n'étais en fait qu'une américaine, qui n'a jamais mit les pieds en Belgique et qui n'est absolument pas juive, et que tout le parcours de cette enfant n'est que fiction. Bien sûr, le périple en reste tout aussi boulversant, mais il n'est plus réel, ce n'est qu'un fantasme. Je me pose tjrs cette question, pourquoi faire passer cela pour une autobiographie, pourquoi se mettre en avant sur une histoire construite de tt pièce ?

Pendant la 2e guerre mondiale, une petite fille dont les parents ont été arrêtés se retrouvent dans une "famille d'accueil" pas très accueillante. Du haut de ses 8 ans, elle décide de partir à la recherche de ses parents en survivant comme elle peut.



Vendu au départ comme un récit autobiographique, ce roman est finalement une grande supercherie. Je n'étais pas au courant avant de le commencer, mais voyant là une histoire plus qu'extraordinaire, j'ai décidé de faire quelques recherches pour m'apercevoir qu'il s'agissait d'une imposture. Grande déception! Néanmoins, si vous êtes capable de faire la part des choses, ça demeure un bon livre de fiction.

D’après l’auteur, ce roman serait inspiré de sa propre histoire.



Si ce récit de vie de Misha Defonseca vous a plu, vous pouvez retrouver le film « Survivre avec les loups » réalisé en 2008 par Véra Belmont.



Salutations d’Exquimots !
Lien : http://www.exquimots.fr

Livre bouleversant même si c'est une histoire fausse. sur la couverture, il ya marqué histoire fraie mais après avoir lu le roman, je suis dit mais elle nous prend vraiment pour des pigeons!!! impossible que ça soit vrai bien trop tiré par les cheveux.



petit fille juive qui erre ainsi pendant 4 ans dans une forêt au milieu des loups et temps de guerre. pardi!!

Au bout de toutes ces années, elle se rend compte qu'elle est vraiment seule, trop seule et rebrousse chemin jusqu'à sa Belgique natale. Elle y revient grandie et mûre. Elle a traversé tant d'épreuves pendant son errance que plus rien ne lui fait peur, ni mal.



J'ai quand même apprécié ce roman, un truc que je me souviens j'avais tout le temps fait quand je le lisais ;)

Le livre est largement sous-noté à mes yeux.Parce qu'honnêtement c'est le plus beau que j'ai lu.Le seul qui m'a fait pleurer.

Chaque phrase vous prend à la poigne.Et dans un livre de presque 300 pages ça fait beaucoup.Les descriptions sont magnifiquement dures,et drues.Le point de vue d'une petite fille étrangère au genre humain sur la barbarie humaine fait mal,mais le fait bien.

Aucun,je dis bien aucun personnage sur le millier de livre que j'ai lu dans ma vie ne m'a jamais autant marqué que celui de Gerusha.Un personnage tout simple et peu vu pourtant,mais ce personnage de mère passionnée,belle,fine et fragile,on ne l'oublie pas,il vous marque à vie.Croyez-moi mais c'est la seule fois où j'ai pleuré en lisant un livre,et c'était à cette phrase"je n'ai jamais revu maman et je n'ai jamais oublié les loups".C'est aussi dû au fait que j'adore les juifs russes."Misha,russe dans l'âme",et cet ukrainien que j'oublie pas.

Mais bon,tout ça c'est pas vrai.Gerusha n'existe pas,l'histoire non plus.C'est ce qui fait la grande force de ce livre.L'histoire est peu plausible,on se demande pourquoi tout le monde y a cru,mais en le lisant on comprend pourquoi.Un faux témoignage plus crédible que bon nombre de vrai témoignage.

Chef d'oeuvre absolu.

J´ai adoré ce livre pour l´emotion intense qu´il transporte: l´histoire d´une petite fille juive qui parcourt l´Europe à pied, cherchant désésperement ses parents, volant pour survivre, et fuiant surtout les soldats allemands.

Cependant j´ai été très décu d´apprendre que l´auteure du livre a menti et que se n´est pas une biographie ou autobiographie mais un roman purement inventé ! ...

Dommage du scandale.

Un livre que j'ai lu deux fois et qui a su me tirer les larmes. Il n'est pas croyable qu'une femme -enfin, une enfant, vive de telles choses ! Les moments forts de l'histoire sont sans conteste contenus dans le coeur du livre -le début et la fin étant un peu moins accrocheurs.

J'ai été happé par cette histoire incroyable. Quelle déception d'apprendre que ce que je croyais (naïvement) être un récit était un roman et que cette aventure n'était que le fruit de l'imagination.

J'ai aimé accompagner Misha sur les chemins, mon désappointement n'en est que plus grand.

5 étoiles car ce livre est tout simplement génial !

Malheureusement très déçu quand j’ai appris que ce n’était que pire roman ...

Ce livre fut durant un temps un véritable phénomène de par son thème et son histoire, qui émut des milliers de personnes. Puis le scandale éclata : l'histoire autobiographie n'en était pas une, l'auteur a menti, le succès du livre en pris un sacré coup.



En dehors de cette polémique, si l'on considère ce livre comme un simple roman, sa lecture y reste agréable, mais il est certain que sans son côté réaliste, le roman y perd beaucoup et n'en devient qu'un roman sympathique, mais sans plus...

C'est dans un Géo ado hors série sur les théories du complot ("Gare aux mythos!") que j'ai entendu parler de ce livre : pendant des années l'auteur a fait croire que c'était une histoire vraie... alors que non !

C'est un récit rétrospectif que nous fait l'héroïne. Des années se sont passées depuis qu'elle a dû quitter Bruxelles et, revenue sur les lieux, elle cherche désespérément une trace de sa vie perdue avec ses parents... Pour tous, Mishke est devenue une "sauvage", un "petit monstre". Meurtrie et décalée, elle remonte le temps pour raconter son histoire.



Celle-ci commence dans un appartement quasi vide où il faut vivre cachée, dans la plus extrême pauvreté : "L'isolement dans lequel je grandissais était dû au fait que mon père était juif allemand et ma mère juive d'origine russe". Le danger est permanent et un jour, la fillette doit suivre la "dame en noir" qui la confie à "une femme aux cheveux mauves qui ne m'aimait pas". C'est un des rares moments d'émotion du roman ("Ma vie de petite fille aimée s'est arrêtée ce jour-là") car Mishke va ensuite s'évertuer à s'endurcir. Ce qui la touche le plus, c'est le silence autour de ses parents : à aucun moment on ne lui explique clairement la situation, elle sait juste que ceux-ci ont été "envoyés vers l'est". C'est d'ailleurs la direction qu'elle suivra invariablement à l'aide de la petite boussole offerte par "grand-père" (le beau-père de la femme aux cheveux mauves). La ferme du grand-père et de Marthe lui offre une ambiance chaleureuse qui contraste avec la méchanceté gratuite de leur bru. Auprès d'eux et de leurs animaux "la vie était belle" et "j'avais appris le monde", même si Mishke reste "une solitaire".



Et voilà que la présence allemande la fait à nouveau quitter le cocon. Cette fois Mishke s'enfuit seule, dans une "quête éperdue de ma mère" qu'elle croit encore vivante. La fillette fait preuve d'un courage et d'une endurance incroyables, volant dans les fermes pour se nourrir et s'habiller, résistant du haut de son jeune âge à la souffrance physique et morale. Si toute la première partie du livre contribue à expliquer ce qui fait que, dans sa personnalité comme son vécu, Mishke a été en capacité de survivre ainsi, livrée à elle-même, l'aventure reste tout de même peu crédible. Mais ce qui m'a gênée le plus, c'est que le style, malgré sa grande fluidité, reste assez froid et dur, comme l'héroïne, ce qui ne la rend pas attachante. Pourtant tous les éléments sont réunis pour faire une histoire émouvante.



C'est en Pologne que Mishke rencontre la louve, puis son compagnon. Pour la fillette, l'animal est comme une seconde mère, qui l'accompagne et prend soin d'elle. Une fois encore, elle arrive à se lier et communiquer avec les loups avec une incroyable facilité. De même, si l'on se réfère à la carte de l'Europe, elle aura parcouru à pieds un trajet de milliers de kilomètres! Même pour une fiction, c'est difficile à accepter. La période passée avec les loups n'est pas si longue (et remet quelque peu en cause le choix du titre...). La fillette va ensuite rencontrer des louveteaux et leur meute et s'intégrer à leur clan par l'observation et l'imitation ("Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais les petits ont bien grandi et commencé à chasser avec les autres"). Quant à la guerre, elle est vue de loin, tout au moins au début, d'une part parce que Mishke est petite, et d'autre part parce qu'elle se déplace le plus loin possible de toute activité humaine ("J'ignorais tout de la guerre"). Elle vivra tout de même un passage traumatisant dans le ghetto de Varsovie, connaîtra des bombardements en Russie, assistera aussi à une fusillade et un viol... Mais supportera tous ces événements tragiques (ainsi qu'une blessure au dos et une entorse à la cheville...) grâce à sa "force mentale", et elle entreprend de faire demi-tour à la fin du conflit en passant par la Roumanie, la Yougoslavie, l'Italie et la France (!).



Les derniers chapitres évoquent le difficile retour à une vie "normale", il faut "reprendre pied" malgré les nombreux traumatismes. Mishke souffre de ne pas savoir ce que sont devenus ses parents et après avoir vécu si longtemps seule, "l'adaptation sociale restait impossible". Elle retiendra surtout que "l'homme est le plus terrible des prédateurs" et même "l'ennemi universel"... aspirant à retrouver la sérénité d'une vie proche de la nature et des animaux.
Lien : https://www.takalirsa.fr/sur..

“At one lecture, a woman said to me, ‘You’re not a holocaust survivor. You didn’t live in the camps.’ Hers was just one voice among others. It shouldn’t have upset me as it did, but I was annoyed with myself for telling the world a story that wasn’t universally accepted, just because it wasn’t like everyone else’s. I was different, as always… ” Surviving with wolves is indeed unique, a story different from any other one you might have read. It takes place during the war and the reader sees through Jewish eyes. Until then, you will tell me that there is nothing unusual about it, and you are right. What makes this book so extraordinary how its story actually unfolds and how the different events that occur are told.

Misha lives in Brussels with her parents and even though they are rather poor, she is happy. But she is Jewish and her life changes forever when her parents are taken away by Nazis. Misha is saved and placed in a Belgian family who will take care of her. As she is only seven, she does not fully understand what is happening. She knows that she must not say that she is Jewish; she knows that the Nazis are dangerous; she knows that her parents are in the East. Nobody explained anything else to her. So one day, she sets off towards the East to find them and starts an unimaginable journey through Europe in war.

The story of the journey itself is wonderful. We follow the little girl who knows nothing about war in her adventure. She is innocent but clever and very brave. From the very beginning, we see how she can survive in hostile environment, with people fighting around her and the whole world collapsing. Because of this traumatic period, nobody tries to stop her; it is not usual to see poor and filthy children on their own, and Misha does not trust people. She steals food from the farms or eats from carcasses rather than begging or asking for help. She sleeps in the forest rather that hideing in deserted buildings. This is how, on her long way trough Belgium, Germany, Poland, Russia and the Ukraine, she meets wolves with whom she develops a wonderful relationship.

This relationship is incredible at first, but yet as the story goes on we understand it better. The descriptions of the majestic animals are poignant and we clearly see why the little girl trusts them rather than humans: they don’t have guns, they are not deliberately cruel to one another, they have clear rules and they can be trusted… Unlike human beings or at least unlike the human beings Misha has met.

The scenes with nature are cleverly mixed with war scenes. As Misha does not trust humans, she does not seek social contact but inevitably she will see some of the horrors of the war. An interesting aspect is that, by travelling, we see how different people react to the war. The reader is given an insight into Polish guerrillas’ fights, Jews’ persecution, German soldiers’ methods, Russian civilians’ hope and prisoner camps…

These are described with accurate details of what the little girl felt when she actually lived the scene and mixed with explanations given by Misha years later, when she writes about her adventure. Telling this story with two perspectives was a sensible choice: we understand the little girl experience, her innocence and how traumatic everything was for someone who did not understand at all the gravity of what was happening; at the same time, we have more factual explanation to help us understand how Misha’s personal story is linked to the rest of the events.

One of the main controversies that arose with the publication of this book regarded the truth of the story. Even if Misha first presented it as real, it turned out that she had actually made it up: she was not Jewish and she did not travel all the way through Europe, living with wolves, to find her parents. This revelation should however not lessen the beauty of the story. Misha has survived the war and her need to tell a story that differs from the one she actually lived shows how she tries to heal from this traumatic experience.

Surviving with wolves is therefore a book that is worth reading, especially for people who like animals and are interested in war stories. However, anybody can find it interesting, as it is extremely varied and well written.
Lien : http://iletaitun-livre.blogs..

J'avais déjà commencé le livre quand j'ai appris que malgré ce qui était présenté, ce n'était pas une histoire vraie. Ou plutôt les termes utilisés étaient autour du mensonge.

Cela soulève un point intéressant : au-delà du fait que l'auteure ait dissimulé la vérité, son récit aurait-il été publié si elle avait directement annoncé la couleur ? Peut-on écrire de la fiction sur la seconde guerre mondiale, en reprenant les codes du "récit de mémoire" ? Peut-on imaginer le calvaire que certains ont réellement vécu ? Où se situe l'affront ?

Car finalement, ce livre se propose comme une sorte de "conte", de récit d'aventures pour enfant. Une petite fille de 7 ans s'échappe seule, arrive à survivre et copine deux fois avec les loups. Elle traverse la moitié de l'Europe, rapine et survit. L'histoire en elle-même n'est pas désagréable, le style d'écriture est un peu lourd, mais on suit les aventures de Mishke avec attention et on se demande ce qui va lui arriver. On pourra alors dire que le premier objectif du livre, celui de capter l'attention du lecteur, est réussi. Finalement, est-ce important que cela soit vrai ou pas ?



Les dernières pages sont d'ailleurs intéressantes à lire, quand des habitants soupçonnent Mishke de mentir, de n'avoir pas vécu l'Holocauste. Comme si l'écrivaine avait disséminé les propres graines de sa critique.

Adorant les loups, et étudiant au collège la période de la Guerre, je pensais que ce livre était à ne pas manquer. Je savais l'histoire fausse grâce à mes recherches sur l'auteur, mais j'ai tout de même voulu lire ce récit... Qui a été une très grosse déception.

L'histoire est pleine d'incohérence et d'invraisemblances, et c'est à peine si l'on parle des loups. (Ils font une apparition sur... 25 pages environ ?)

Le début était pourtant intéressant, mais plus je progressais dans la lecture, et plus cela devenait lassant. Seuls quelques passages ont fait que je n'ai pas arrêté ma lecture.

Un livre que je relirai pas de si tôt, c'est certain !

En commençant ma lecture, la première chose qui m'a frappée, c'est un trop plein d'auto-apitoiement. Je conçois que l'histoire de Misha Defonseca est terrible, qu'elle a vécu des choses atroces, flirté bien des fois avec la mort, perdu la foi envers le genre humain, mais je ne trouvais pourtant pas utile d'en rajouter autant. Tant d'adjectifs et de superlatifs n'étaient pas nécessaires ... les faits parlent très bien d'eux-même. Heureusement au cours de la lecture, notre héroine s'endurcit et si sa haine envers le genre humain ne va qu'en s'accroissant, elle se plaint moins souvent et continue son pénible périple en nous embarquant en chemin.



La seconde chose, c'est le côté extraordinaire de certains éléments difficiles à concevoir. Si le livre ne se revendiquait pas comme une auto-biographie, ça ne m'aurait pas dérangée, mais ici, sa cohabitation amicale avec des loups, certaines fuites folles et sa survie dans ce milieu macabre m'ont parues irréalistes. Le livre avait d'ailleurs été controversé lors de sa sortie, présenté comme une arnaque par certains Critiques. Je n'irais pas jusqu'à crier au scandale, puisque sa cohabitation avec les loups peut aussi bien passer pour une métaphore - une critique de la société, laquelle serait bien moins rassurante qu'une meute de canidés affamés .

Ce livre m'a touchée, mais ne m'a pas bouleversée. L'histoire est prenante - surtout en considérant les nombreux faits véridiques - mais la plume de l'auteur ne m'a pas émue.
Lien : http://www.izabeletseslivres..

Misha petite fille de 8 ans part seule à l’aventure avec seulement une boussole pour retrouver ses parents arrêtés et emmenés par la Gestapo dans les camps d'Europe de l’est. Elle vole dans les fermes pour se nourrir et se fait adopter par des loups.



Cette histoire est un peu irréaliste comme si une petite fille de 8 ans, seule, pouvait marcher 3000 km et traverser plusieurs pays dans la faim et le froid! Et son adoption par les loups est peu crédible.

L’auteur montre beaucoup son amour pour les animaux et peu pour les humains... un peu trop à mon gout. Mise à part cela certains passages son joliment écrits et les descriptions sont magnifiques .