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0.5/5 (sur 1 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Véronique Cézard-Kortulewski se présente comme "psychogénéalogiste et formatrice en médecine alternative. Passionnée par les histoires de vie, elle s’oriente rapidement vers l’analyse des schémas familiaux qui mettent en lumière le comportement de l’individu. Cette polypotentialiste libérée, comme elle se plait à le dire, n’a qu’un but : que chacun récupère sa liberté de penser et d’agir. "

Elle a écrit de nombreux ouvrages de développement personnel.

Source : editionsamyris
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Citations et extraits (6) Ajouter une citation
- C’est pour cela que nos protecteurs, “ les Protecs ” comme on les appelle, sont triés sur le volet. Ils sont formés au sein d’une école très particulière qui se nomme “ l’ASSAS ”: Apprentissage Spécifique et Scientifique des Aspirants Sauveurs. Ils doivent non seulement vouer leur vie à leur métier mais ils doivent être irréprochables. Il n’est pas pensable qu’un Protec puisse être agressif ou méchant et surtout qu’il puisse prendre du plaisir à nettoyer.

- Tuer vous voulez dire, demanda Zazie.

- Ce mot ne fait en aucun cas partie de notre vocabulaire car il ne correspond pas au travail que nous effectuons. L’action positive de ce terme sera donc “ nettoyer ”. Donc, nos protecteurs doivent être parfaits : gentils, aimables, doux, impliqués, droits et surtout fidèles à leurs engagements.

- Ça peut donc s’appeler l’école des ASSAS-SAINTS, dit Charly en mimant une auréole sur sa tête et en décomposant le dernier mot. Et tous se mirent à rire, y compris le directeur qui trouva la répartie très appropriée et très drôle.

- Ça pourrait, effectivement, l’idée n’est pas mauvaise.

- Mais si vous ne les tuez pas, vous en faites quoi alors des méchants ? Demanda Zazie.

- Et pourquoi vous nous parlez de ça ? demanda Basile
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Les dix rouges suivaient le jeune blondinet au pas de course. Ils arrivèrent rapidement face à un bar devant lequel étaient stationnées de magnifiques Harley Davidson. Il s’agissait d’un bar de bikers qu’apparemment connaissait bien Charly. Il rentra à l’intérieur comme une furie et se dirigea vers un grand costaud tatoué, et lui dit :

- Salut Johnny

- Oh, salut Charly, comment ça va mon poto ? Ton frangin est dans le coin ?

- Pas du tout, mais j’ai un grand service à te demander. Mes amis et moi, on vient d’être sélectionnés pour un challenge qui est super important pour nous et si on gagne, on aura des cadeaux de ouf. Seulement, on a des missions et la première, c’est moi qui dois la gagner et je dois amener toute ma bande au Parc de loisirs en un temps record. Toi et tes potes, vous pourriez pas nous donner un petit coup de main ? Vraiment ce serait chouette !

- Et vos motos sont fabuleuses, rajouta Basile, en plus toute la ville verrait que vous nous avez aidés et ce serait vraiment un beau geste.

Johnny regarda les autres motards qui se levèrent tous en même temps et d’une seule voix crièrent :

- On va tous les niquer !
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Il continua sur l’engagement en stipulant que la décision était irréversible. En effet, pendant trois ans, la ville investissait une somme considérable pour la formation des dix enfants et leurs parents recevaient également une prime annuelle non négligeable pour les remercier de confier leur enfant à l’ASSAS. Celui qui décidait de quitter l’école devrait alors rembourser la totalité des frais engagés, ce qui représentait une somme considérable, voire démesurée.

De plus, à l’issue de la formation, chacun des élèves devait donner à l’institution six années de travail rémunérées obligatoires. Après cette durée légale d’investissement, ils pouvaient à leur guise continuer ou démissionner de leur emploi.

- Pff, on sera vieux quand on sortira, dit Charly.

- Si pour toi vingt et un ans c’est vieux, répondit le directeur, alors qu’est-ce que ce sera quand tu auras mon âge ?

- Euh, il existe un mot pour dire plus vieux que vieux ?

Tout le monde rit de bon cœur, même Monsieur Bétany, qui commençait à jauger la personnalité de Charly comme étant le rigolo de la bande.
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- Vous savez que nous habitons dans une cité un peu particulière, qui a des codes différents des autres villes de ce pays, mais qui néanmoins fonctionne plutôt pas mal. Nous n’avons pas de police mais l’œil de La Passerelle qui nous permet de nous prémunir de certaines personnes plutôt malsaines pour Camberone. Vous savez également que lorsque certains deviennent dangereux ou commettent des actes répréhensibles…

- Ils sont neutralisés, dit Charly

- C’est ça, Charly, ils sont maitrisés par des personnes qui sont l’élite de la ville. Des hommes et des femmes qui ont été recrutés, formés et testés pendant de longs mois pour pouvoir effectuer ce travail de sain nettoyage. Mais, même si ce fonctionnement a démontré que depuis la mise en place du système, le taux d’agression a diminué de quatre-vingt-dix pour cent. Même si les habitants se sentent vraiment en sécurité et si personne ne conteste cette punition radicale, il reste ancré dans une partie de notre cerveau que neutraliser est mal.
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- En tout cas Ben, c’est super gentil de prendre soin de nous et si j’ai besoin de toi, je viendrai te chercher.

Elle se hissa sur la pointe des pieds et lui fit une bise sur la joue qui le fit rougir de plaisir et de honte à la fois. A bientôt seize ans, les filles étaient encore la grande inconnue et tous les garçons étaient encore partagés entre le fait que les filles étaient des chialeuses mais qu’elles leur faisaient parfois des trucs un peu bizarres au niveau du bas-ventre.
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Six autres numéros furent appelés. Raoul descendit sur la scène et se retrouva en duel avec un copain de classe qu’il appréciait beaucoup. Leur battle consistait à créer une boule puante explosive et ils avaient pour cela vingt minutes à leur disposition.
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